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La vidéo-polysomnographie (V-PSG) est un enregistrement complet du sommeil couplé à une vidéo infrarouge synchronisée. Elle aide à préciser les indications, le déroulement et l’interprétation des épisodes nocturnes atypiques. Consultez vite en cas de chutes du lit, de blessures nocturnes ou de somnolence au volant.
Qu’est-ce que la vidéo-polysomnographie ?

La vidéo-polysomnographie (V-PSG) est une polysomnographie classique à laquelle on ajoute une vidéo infrarouge et souvent un enregistrement audio, synchronisés seconde par seconde avec les signaux du sommeil.
Cette mise en relation « image + signaux » permet d’objectiver ce qui se passe pendant un épisode nocturne (gestes, vocalisations, chute du lit) au moment précis où l’EEG (électroencéphalogramme), le tonus musculaire ou la respiration changent.
Concrètement, l’examen se déroule sur une nuit, dans une chambre dédiée, avec une caméra discrète qui n’éblouit pas et n’entrave pas vos mouvements.
À chaque image, l’heure exacte et les signaux enregistrés en même temps (cerveau, respiration, muscles) sont connus, ce qui aide à comprendre l’épisode et à conclure plus sûrement.
La différence clé avec une polysomnographie « classique » est que cette dernière, qui décrit les stades de sommeil, les micro-éveils et la respiration, est sujette à interprétation, tandis que la vidéo-polysomnographie apporte la preuve visuelle et aide à distinguer un rêve « agi », un éveil confusionnel, un mouvement périodique des jambes ou un autre comportement nocturne qui resterait ambigu sans image.
À retenir : la V-PSG relie le comportement nocturne filmé aux données du sommeil pour une lecture clinique plus précise et une décision thérapeutique mieux ciblée.
Pour situer cet examen parmi les autres, consultez notre page sur les Examens du sommeil.
Quand proposer une vidéo-polysomnographie (V-PSG) ? Indications principales.
La vidéo-polysomnographie est indiquée quand un enregistrement sans image ne suffit pas à expliquer des épisodes nocturnes comportementaux ou à risque, quand l’origine des épisodes reste incertaine, ou quand la sécurité du patient ou de l’entourage est en jeu.
| Situation | Apport de la vidéo-polysomnographie |
|---|---|
| Parasomnies | Relier l’épisode aux signaux du sommeil pour préciser le type et apprécier le risque de chute. |
| Épisodes nocturnes atypiques | Trancher entre parasomnie et crise d’épilepsie grâce à la corrélation image et EEG et indiquer un EEG vidéo prolongé si besoin. |
| Troubles du mouvement liés au sommeil | Mesurer le lien du geste avec l’activité musculaire et la qualité du sommeil. |
| Troubles respiratoires avec comportements associés | Vérifier si les comportements suivent des événements respiratoires ou s’ils ont une autre cause. |
| Pédiatrie | Documenter en sécurité, préciser la nature des épisodes, guider la prévention, et rassurer les parents. |
Parasomnies
La vidéo-polysomnographie filme l’épisode et le relie aux signaux du sommeil pour identifier le type de parasomnie et estimer le risque de chute. Elle aide à distinguer un éveil confusionnel, un somnambulisme, des terreurs nocturnes ou un rêve mis en acte. L’objectif est d’objectiver les faits et de guider des mesures de sécurité adaptées.
Épisodes nocturnes atypiques
Parfois les épisodes sont très courts et reviennent de façon identique plusieurs fois dans la nuit.
Dans ces situations, la vidéo-polysomnographie permet de faire la différence entre une parasomnie et une crise d’épilepsie nocturne.
Troubles du mouvement liés au sommeil
Si votre entourage remarque des secousses de jambes, un grincement de dents (bruxisme) ou des crampes nocturnes, l’enregistrement vidéo permet de relier ces mouvements aux signaux du sommeil et de comprendre leur impact sur votre repos. Cela permet de savoir s’il s’agit bien d’un trouble du mouvement lié au sommeil.
Troubles respiratoires avec comportements associés
Certains patients se réveillent en sursaut ou avec des gestes brusques liés à une apnée du sommeil.
La vidéo-polysomnographie aide à savoir si ces comportements viennent vraiment d’un trouble respiratoire ou d’une autre cause.
En cas d’apnées confirmées, un dispositif médical du sommeil peut ensuite être proposé pour traiter le trouble respiratoire.
Pédiatrie
Chez l’enfant, l’examen peut être proposé quand les parasomnies sont fréquentes ou violentes, quand des chutes du lit surviennent, ou quand un doute existe avec des crises d’épilepsie.
Il permet aussi de guider les parents pour sécuriser la chambre et mieux comprendre ce qui se passe la nuit.
Quand y penser en pratique ?
- Blessures nocturnes ou chutes du lit répétées.
- Gestes brusques, cris ou épisodes qui inquiètent l’entourage.
- Épisodes mal expliqués après une première polysomnographie ou une polygraphie ventilatoire.
- Doute persistant entre parasomnie et épilepsie, ou entre mouvements des jambes, bruxisme et rêves agis.
Message sécurité
- Si vous avez chuté du lit ou blessé un proche la nuit, demandez un avis médical rapidement.
- Si vous somnolez au volant, cessez la conduite et consultez sans tarder.
- En attendant l’examen, sécurisez la chambre retirer les objets dangereux, éloigner les meubles instables, prévoir un éclairage discret pour se déplacer.
Que mesure et enregistre une vidéo-polysomnographie (V-PSG) ?
La vidéo-polysomnographie enregistre votre sommeil pendant toute une nuit avec des capteurs et une caméra infrarouge.
Les images et les signaux sont synchronisés seconde par seconde pour comprendre ce qui se passe au moment précis d’un épisode nocturne.
L’objectif est d’obtenir des informations fiables et utiles à la décision médicale.
Signaux enregistrés pendant la nuit
- L’activité du cerveau est enregistrée avec l’EEG. Cela permet de reconnaître les stades de sommeil et de repérer les micro-éveils.
- Les mouvements des yeux sont suivis avec l’EOG (électro-oculogramme). Cela aide à identifier le sommeil paradoxal.
- Le tonus des muscles est mesuré par l’EMG (électromyogramme) au menton et parfois aux jambes. Cela met en évidence une perte de tonus ou des mouvements.
- La respiration est observée grâce au flux d’air, aux efforts thoraco-abdominaux, à la position et au bruit de ronflement. Cela permet d’identifier des pauses ou des rétrécissements des voies aériennes.
- L’oxygénation du sang est suivie avec la SpO2 (oxymétrie). Cela montre les baisses transitoires d’oxygène pendant la nuit.
- Le rythme cardiaque est enregistré avec l’ECG (électrocardiogramme). Cela permet de noter les variations de fréquence au cours de la nuit.
Vidéo infrarouge synchronisée, à quoi ça sert ?
La caméra filme la nuit en continu sans vous éblouir.
Les images sont alignées seconde par seconde avec l’activité cérébrale, la respiration et le tonus musculaire.
On peut ainsi dire si un cri, une chute du lit ou un rêve agi survient en sommeil lent ou en sommeil paradoxal, et si l’épisode est bref, répété ou potentiellement dangereux.
Son et horodatage des événements
Un micro discret capte ronflements, vocalisations et gémissements.
Chaque image et chaque son portent une heure précise.
Cela permet d’aligner un bruit, un réveil ou un mouvement avec les changements sur l’EEG, l’EMG ou la respiration et d’aboutir à une conclusion plus sûre.
Comment se déroule l’examen ?
La vidéo-polysomnographie suit un protocole précis pour que la nuit d’enregistrement soit à la fois fiable et la plus confortable possible.
Elle se déroule généralement en centre du sommeil, dans une chambre adaptée avec surveillance technique.
Préparation et consignes avant l’examen
La veille et le jour de l’examen, il est conseillé de garder vos habitudes de sommeil et d’éviter caféine, alcool et siestes prolongées.
Le médecin peut parfois demander d’ajuster un traitement selon le contexte.
Apportez vos ordonnances, vos médicaments habituels et un pyjama confortable
Pose des capteurs et vérification de la qualité
En début de soirée, un technicien place les capteurs pour enregistrer l’activité cérébrale, musculaire, oculaire, respiratoire et cardiaque.
Chaque capteur est testé pour s’assurer que le signal est clair et stable avant le coucher.
Nuit d’enregistrement
Vous dormez dans une chambre calme et sombre, équipée d’une caméra infrarouge discrète.
Le personnel peut intervenir si un capteur se décolle ou si une aide est nécessaire.
L’objectif est de capter une nuit complète dans des conditions proches de votre sommeil habituel.
Fin de l’examen et restitution
Au matin, les capteurs sont retirés et l’enregistrement est vérifié.
Les données, images et sons sont ensuite analysés par des spécialistes pour établir un compte rendu médical détaillé.
Le médecin qui a prescrit l’examen vous expliquera les résultats et proposera les suites adaptées.
À domicile ou en centre ?
Selon la situation, la vidéo-polysomnographie peut se faire en centre du sommeil ou à domicile.
Le choix dépend surtout de la sécurité, de la raison pour laquelle l’examen est demandé et des conditions techniques nécessaires pour une vidéo de qualité.
À domicile, une installation spécifique et un consentement adapté sont requis.
Tableau comparatif
| En centre | À domicile |
|---|---|
| Vidéo de qualité stable élevée avec angle large et infrarouge adaptée | Vidéo de qualité variable selon la pièce et l’angle |
| Surveillance technique présente sur place | Surveillance technique non présente |
| Capteurs réajustables pendant la nuit | Capteurs risque de décollage non corrigé |
| Sécurité meilleure si gestes brusques ou chutes | Sécurité dépend de l’aménagement du domicile |
| Diagnostic complexe plus fiable quand le doute persiste | Diagnostic complexe parfois insuffisant |
| Risque de données manquantes faible en cas d’incident | Risque de données manquantes plus élevé en cas d’incident |
| Confort environnement standardisé hors domicile | Confort chambre habituelle nuit plus naturelle |
| Organisation déplacement et planning à prévoir | Organisation moins de déplacements installation spécifique |
| Indications prioritaires épisodes violents suspicion d’épilepsie examens non concluants | Indications prioritaires épisodes fréquents non dangereux besoin d’une nuit typique |
Comment choisir ?
La sécurité passe en premier. Si des gestes brusques ou des chutes surviennent, privilégiez le centre.
Si l’objectif est d’observer une nuit typique chez vous, la domiciliation peut se discuter.
La décision se prend avec votre médecin selon vos symptômes, votre logement et les délais.
Repères utiles
Si vous avez un risque de blessure la nuit ou si le doute persiste entre parasomnie et épilepsie, le centre est recommandé.
Si un précédent examen n’a pas permis de conclure, le centre est préférable.
Si les épisodes sont fréquents mais sans danger particulier, un enregistrement à domicile peut suffire.
Si vous avez besoin d’images stables et de capteurs surveillés pendant la nuit, privilégiez le centre.
Si votre chambre est calme et adaptée, un enregistrement à domicile est envisageable.
Interprétation et compte rendu
Après la nuit d’enregistrement, les images, le son et les signaux du sommeil sont analysés ensemble.
L’objectif est d’expliquer clairement ce qui s’est passé pendant vos épisodes nocturnes et de dire si des gestes ou des bruits sont liés à un stade de sommeil précis ou à un événement respiratoire.
Le compte rendu vous est ensuite expliqué par le médecin qui propose la suite à donner.
Comment une vidéo-polysomnographie est-elle lue ?
Le spécialiste passe en revue la nuit par étapes.
Il identifie les stades de sommeil, repère les micro-éveils et recherche des événements respiratoires.
Il place ensuite vos épisodes visibles aux bons moments de la nuit pour comprendre leur mécanisme.
Cette lecture croisée améliore la fiabilité du diagnostic.
Cotation et critères utilisés
Le compte rendu présente des indicateurs reconnus répartition des stades de sommeil, temps total de sommeil, nombre de micro-éveils, index de mouvements, index d’événements respiratoires, durée des désaturations.
Ces valeurs servent de repères pour comparer les examens et suivre l’évolution clinique.
Rêve agi ou autre cause
Les images permettent de distinguer un rêve mis en acte d’un éveil confusionnel en début de nuit ou d’un mouvement périodique des jambes.
L’analyse tient compte du moment de l’épisode, de la posture, de la durée et de l’expression du visage, puis vérifie en parallèle l’activité cérébrale et le tonus musculaire afin d’orienter vers la bonne prise en charge.
Quand compléter l’exploration ?
Si un doute persiste concernant une possible crise d’épilepsie nocturne, un EEG vidéo prolongé peut être proposé avec un montage plus spécifique.
Cette étape n’est pas systématique et se discute selon les symptômes et ce qui a été observé pendant la vidéo-polysomnographie.
Que trouverez-vous dans le compte rendu ?
Le document comporte une synthèse compréhensible, les éléments chiffrés clés, la description des épisodes notés pendant la nuit et la conclusion diagnostique.
Les suites proposées y sont indiquées, par exemple sécuriser la chambre, traiter un trouble respiratoire, corriger des facteurs favorisants, adresser vers un spécialiste si nécessaire.
Et après
Un rendez-vous de restitution est prévu.
Le médecin explique les résultats et répond à vos questions.
Les traitements éventuels sont démarrés ou ajustés.
Les aménagements de sécurité à domicile sont précisés si nécessaire.
Un suivi est programmé pour vérifier l’amélioration et adapter la prise en charge.
En cas de doute ou d’aggravation, contactez votre médecin sans attendre.
Sécurité, confort et confidentialité
La vidéo-polysomnographie implique un enregistrement vidéo et audio durant la nuit.
Cette dimension soulève naturellement des questions de confort et de respect de la vie privée.
Tout est encadré par des règles précises pour garantir votre sécurité et la protection de vos données.
Consentement et information du patient
Avant l’examen, le médecin explique en détail ce qui sera enregistré et pourquoi.
Votre accord écrit est recueilli.
Le périmètre de la captation est limité à la chambre d’examen et aux éléments nécessaires à l’interprétation médicale.
Confort pendant la nuit
La caméra infrarouge filme sans lumière visible et n’éblouit pas.
Le dispositif reste discret pour limiter la gêne.
Vous pouvez bouger normalement, changer de position et vous lever si besoin.
Le personnel technique veille à ce que l’installation reste confortable et sûre.
Stockage et confidentialité des données
Les vidéos, les sons et les signaux sont stockés de manière sécurisée pendant une durée limitée fixée par la réglementation.
Seules les équipes médicales autorisées y ont accès.
Les données sont protégées et utilisées uniquement dans le cadre du diagnostic et de la prise en charge de votre trouble du sommeil.
Limites et contre-indications relatives
La vidéo-polysomnographie reste un examen de référence, mais certaines situations peuvent limiter son intérêt ou compliquer sa réalisation.
Limites de l’examen
L’environnement en centre peut modifier votre sommeil habituel et rendre certains épisodes moins fréquents.
À domicile, la qualité des images dépend de la pièce, de la lumière infrarouge et de l’angle de la caméra.
Les mouvements très discrets peuvent parfois être difficiles à interpréter sans corrélation avec les signaux électrophysiologiques.
L’examen couvre une seule nuit, ce qui peut ne pas refléter toute la variabilité de vos épisodes.
Contre-indications relatives
- Troubles cutanés ou allergies qui empêchent la pose des capteurs.
- Refus d’être filmé ou inquiétude majeure concernant la vidéo.
- Agitation importante ou risque de retrait des capteurs rendant l’enregistrement inexploitable.
En pratique
La décision de réaliser ou non une vidéo-polysomnographie se prend toujours avec le médecin.
Les bénéfices attendus sont mis en balance avec les contraintes techniques et personnelles.
Organisation et remboursement en France
La vidéo-polysomnographie se fait sur prescription médicale.
L’objectif est de programmer l’examen dans des conditions claires et de limiter les démarches pour le patient.
Prescription et documents utiles
Votre médecin prescrit l’examen et précise la question clinique.
Le jour de la prise de rendez-vous, préparez :
- Votre carte Vitale et une pièce d’identité
- Votre attestation de mutuelle à jour
- La liste de vos traitements et de vos allergies
- L’autorisation écrite pour l’enregistrement vidéo et audio fournie par le centre
Prise en charge et coûts
L’examen est remboursé dans le parcours de soins coordonné.
Votre reste à charge dépend de votre mutuelle.
Un devis peut vous être remis avant la programmation si vous le souhaitez.
Le tiers payant peut être proposé selon la structure et votre couverture.
Délais et priorisation
Les délais varient selon la région.
Signalez au secrétariat s’il existe un risque de chute, des blessures nocturnes ou un doute entre parasomnie et épilepsie.
Ces situations peuvent amener une priorisation.
Un créneau vous est proposé dès que le dossier est complet.
Transmission des résultats
Avec votre accord, le compte rendu est adressé à votre médecin prescripteur et aux soignants qui vous suivent.
Vous pouvez demander une copie pour votre dossier personnel.
FAQ
Que se passe-t-il si aucun épisode ne survient pendant la nuit ?
Il arrive que la nuit enregistrée ne reproduise pas vos symptômes.
L’équipe analyse malgré tout les images et les signaux utiles.
Selon la question clinique, le médecin peut proposer de répéter l’examen, de tenir un agenda du sommeil ou d’orienter vers un EEG vidéo prolongé.
Sous combien de temps aurai-je les résultats ?
Après la vérification technique, l’analyse détaillée demande quelques jours selon l’organisation du centre.
Un rendez-vous de restitution est fixé dès que le compte rendu est prêt afin de discuter des suites sans délai inutile.
La vidéo-polysomnographie est-elle utile si une polysomnographie récente n’a pas expliqué mes symptômes ?
Oui. La vidéo synchronisée permet de relier un geste, un cri ou une chute du lit aux signaux du sommeil.
Elle peut affiner le diagnostic lorsque l’enregistrement sans image n’a pas apporté de réponse claire.
Puis-je bouger et dormir dans ma position habituelle pendant l’examen ?
Oui. Vous pouvez changer de position, vous lever si besoin et garder vos habitudes. Les capteurs et la caméra infrarouge sont conçus pour enregistrer la nuit sans vous gêner.
Mon enfant peut-il bénéficier d’une vidéo-polysomnographie ?
Oui. Elle est proposée si les épisodes sont fréquents, très impressionnants ou ne ressemblent pas aux parasomnies habituelles. Elle est aussi utile quand le médecin hésite entre une parasomnie et une crise d’épilepsie survenant la nuit. La vidéo enregistre clairement ce qui se passe et, associée aux capteurs du sommeil, aide à comprendre le mécanisme et à proposer des aménagements simples de la chambre.
Conclusion
La vidéo-polysomnographie relie ce que vous vivez la nuit à des signaux précis du sommeil pour comprendre la cause de vos épisodes et guider la suite.
L’examen se déroule dans un cadre sécurisé avec des règles claires de confidentialité.
Si vous faites des chutes du lit, des gestes brusques ou s’il persiste un doute sur la cause de vos épisodes nocturnes, parlez-en à votre médecin pour décider du lieu le plus adapté et des prochaines étapes, et pour une prise en charge concrète avec un spécialiste du sommeil.
Patients : Prenez rendez-vous ou demandez à être rappelé(e) pour une consultation avec un spécialiste.
Médecins : Confiez l’installation et l’analyse des enregistrements des examens du sommeil à SomnoLink
Ce contenu informatif ne remplace pas un avis médical.
Sources :
Classification ICSD-3 de l’AASM
SFRMS
HAS
Un trouble du sommeil est un dérèglement durable du sommeil – qualité, quantité ou horaires – qui gêne le quotidien : fatigue, somnolence, difficultés de concentration. On distingue plusieurs familles : insomnies, troubles respiratoires, hypersomnies, troubles du rythme circadien, parasomnies, troubles du mouvement.



